c'est le printemps des poètes
Je ne lis pas de poèmes comme je lis un roman J'en saisis une poignée, à la volée Un tercet par-ci, un quatrain par là Au hasard, à l'envie Souvent lu debout, sans confort C'est violent comme un coup de poing Brulant comme une étreinte Quatre vers de Rimbaud, une page de Prévert Offrent un éclair Un trouble unique
La Ronde des livres toujours au top; cette séance un peu spéciale était passionnante. Un échange varié et des envies de livres à n'en plus finir. Merci Corinne et Philippe pour cette ronde menée de mains de maîtres.
RépondreSupprimerMerci Patricia
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