c'est le printemps des poètes




Je ne lis pas de poèmes comme je lis un roman
J'en saisis une poignée, à la volée
Un tercet par-ci, un quatrain par là
Au hasard, à l'envie
Souvent lu debout, sans confort
C'est violent comme un coup de poing
Brulant comme une étreinte
Quatre vers de Rimbaud, une page de Prévert
Offrent un éclair
Un trouble unique



Commentaires

  1. C est tout à fait ça pour moi aussi mais je ne l aurais pas aussi bien écrit !
    Danielle R

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