La Plume de Léo Poétique d'Avril 2025

 Les ateliers d'Avril 2025 se sont déroulés les 14 et 28

(Le 27 a été annulé par manque de participants.)

Etaient présents Martine, Corinne, Elisabeth, Marie-Hélène, Philippe, Valérie,

Marie-Claude D., Sylvie, Colette, Véronique M. , Evelyne, Marie-Claude R.,

Marité et Jacqueline, qui n'ont pas pu venir, ont reçu les consignes par mail.


Au programme de ce mois :

1/Une recette (mais pas de cuisine)

Pour Jacqueline :Recette de l'imagination

Ingrédients :  


Un grand bol d'air frais

Un zeste d'indépendance

Une brassée de curiosité

Quelques grammes de joie de vivre         

Un parfum d'aventures

Un bon poids d'originalité

Quelques pétales de liberté d'esprit et d'impertinence

Prendre un grand bol d'air frais, de montagne de forêt ou de mer selon la préférence. L'inspirer à pleins poumons sans oublier d'y rechercher ce parfum d'aventure sans lequel l'imagination risquerait d'être sans saveur. S'asperger de joie de vivre et rajouter un zeste d'indépendance au risque sinon d'être déçue du résultat. Laisser prospérer en y ajoutant par petites touches une brassée de curiosité et un bon poids d'originalité. Napper de pétales de liberté d'esprit et d'impertinence avant de l'étaler sur tout support : papier, rêve éveiller, bois, galet..

Une recette tout en légèreté qui devrait convenir à tous les appétits d'imagination les plus surprenants.

2/ En s'inspirant d'un poème d'Emily DICKINSON :

pour Marie-Claude R.



3°) Décrire une journée de travail d'un métier oublié

Pour Marie-Hélène : Ange gardien


Il fût un temps où les bars et bistrots de France employaient un salarié particulier : le bien nommé ange gardien. Ce dernier avait pour mission de ramener chez eux les clients du bar les plus ivres et d’assurer leur sécurité en chemin. Si ce poste en tant que tel a officiellement disparu, Sam, l’ami sobre qui conduit et ramène chacun chez soi en fin de soirée, est un peu l’équivalent de l’ange gardien de l’époque.

Je suis un ange gardien et ça me plaît bien

Chaque soir, il le faut bien,

les ivrognes, je les soutiens.

C'est pour leur bien Couchés par terre,

vieillards ou pubères,

éclairés par les réverbères,

ils ne savent plus que faire.

Mon dos est solide

Ma tête loin d'être vide

Mon caractère intrépide

Je suis encore valide

Toutes les nuits les rues de Paris

voient ma charrette bien remplie.

Elles me sourient


Les participants ont fait courir leurs plumes empreintes de poésie pour des ateliers bien agréables, le plaisir de l'écoute et du partage.

Pour le mois de Mai pas d'atelier le mardi 27 mai (fête de Léo)

Uniquement les lundis 12 et 26 Mai.

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